El Frente Bolivariano Revolucionario Peumayén es un tributo a las luchas de nuestros guerreros y ancestros aborígenes latinoamericanos contra la dominación. En la lengua Mapuche significa “lugar soñado". (Ese lugar sagrado desde donde parten los barcos para regresar con sus redes cargadas de sueños. Los habitantes de Peumayén, hombres y mujeres despiertos, otean más allá del horizonte tratando de encontrar la esperanza que alumbra de vida las olas que chocan contra nuestra malherido malecón, la luz de nuestro faro nunca se apaga, para que su eterno parpadeo avise a todos los navegantes de que aquí siempre encontrará refugio, aquí siempre serán bienvenidos. Y ahora, desde este lugar soñado, asumamos el reto de estar vivos y abramos ventanas a la esperanza, certeza de futuro, motor de vida. Facebook: FBR-Peumayén / Email: fbrpeumayen@gmail.com / Twitter: FBR_Peumayen

jueves, 3 de febrero de 2011

MAINTENANT LE VENEZUELA EST UN AUTRE PAYS, IL APPARTIENT A TOUS !

Par. Marianela Urdaneta
Hugo Chávez Frias (Foto:  Prensa Presidencial)


















Dans un discours dont j'ai assisté le rapporteur a expliqué que chaque fois que nous voyons dans les médias une révolte ou un affrontement dans n'importe quel pays africain nous devons nous poser deux questions : quelle est l'importance de la situation géographique de ce pays et quels sont ses recours minéraux ou énergétiques.  Le rapporteur nous a prévenu que très probablement ces évènements sont provoqués par les centres transnationaux de pouvoir à la recherche de se situer dans ce continent pour obtenir les recours minéraux et énergétiques.  En Amérique il y a un pays de 27 millions d'habitants qui possède les plus grandes réserves de pétrole de la planète et il se situe comme la septième puissance mondiale de gaz. Ce pays est Venezuela.


À la fin de 2010 le Venezuela a réussi à certifier plus de 5 milliards de barils, c'est-à-dire, la réserve de pétrole plus grande du monde. Avec le rythme d'exploitation pétrolière qu'il a, le Venezuela possède du pétrole pour plus de 200 ans. C'est l'unique pays sur la planète avec telle capacité. Ni l'Arabie Saoudite, ni l'Iran, ni l'Irak ni la Russie n’ont autant de pétrole comme il y en a au Venezuela. La nation bolivarianne possède aussi 2,4 % des réserves mondiales du gaz. Certainement c'est beaucoup un pétrole et beaucoup de gaz. En résumé, beaucoup de recours énergétiques.

Derrière le coup d'État d'avril 2002 et du criminel sabotage à l'industrie pétrolière, était  la participation de ces centres transnationaux de pouvoir, comme l'a dit le rapporteur, mais la chose c’est que nous ne sommes pas à l'Afrique, mais en Amérique.

Plusieurs fois les gens me demandent le pourquoi de la haine contre le Président Chávez. Ils me demandent pourquoi il y a tant de forces internes et externes qui veulent voir sortir Chávez de la Présidence. La réponse se trouve dans les deux questions initiales du rapporteur. Pour comprendre ce qui arrive au Venezuela nous devons comprendre quel c'est l'importance de sa situation géographique et lesquels sont ses recours minéraux ou énergétiques.

Chez les centres de pouvoir, le pétrole du Venezuela leur intéresse. Rien de plus. Ils ne sont pas intéressé de voir un président qui gouverne mais le voir s’agenouiller. Et le Président Chávez ne s'est pas agenouillé.
 Avant d'énumérer quelques réussites du processus révolutionnaire dans le Venezuela pendant les 12 dernières années je dois remarquer deux moments historiques pour les Vénézuéliens et vois faire connaitre son contexte.

Le « Caracazo » c’est le premier moment et, par la suite, la révolte civique - militaire de février 1992.  Le Caracazo a été le soulèvement d'un peuple qui ne supportait plus la situation économique et sociale de leur pays. Et quelle était cette situation ? Selon une information de l'ONU, entre 1987 et 1994 il y a eu une descente en Venezuela de 37 % dans la dépense sociale; une diminution de 43 % de la dépense en santé entre 1980 et 1994; une diminution de la dépense réelle par habitant de 4.435 bolivars en 1983 à 2.827 bolivars en 1995; une augmentation de foyers dans une situation de pauvreté totale de 46 % en 1988 à 76 % en 1994. Cela était un crime.           

Selon des données du Ministère de la Famille, en  1997, 47,3 % des enfants mineures de 12 ans se trouvaient dans une situation de pauvreté et 21,9 %, dans une situation de pauvreté extrême. En 1997, 18.000 enfants et les adolescents qui travaillaient dans les rues sont comptabilisés. En 1988 l’augmentation des naissances chez des mères âgées de moins de 12 années a été de 33%. En 1997 407.000 enfants n’avaient pas de documentation. Cela était un crime.   Dans le domaine de l’éducation il y a eu une diminution de la dépense dans l’éducation primaire et secondaire de 25 % en 1980 et du 20 % en 1992. Cela c’était un crime. 55,6 % de la population indigène âgées entre 5 et 24 ans étaient exclus du système éducatif. Cela était un crime.  À un niveau de l'éducation supérieure, entre 1984 et 1998 le nombre d'aspirants à rentrer dans les universités a augmenté un 55 % (de 87.343 à 135.764), tandis que les places dans les universités ont augmenté que du 30 % (de 54.166 à 70.348), cela se traduisait en plus d’exclusion. Cela était un crime.

Toute cette situation nous a porté au « Caracazo » et nous a avancé dans le deuxième moment historique : La révolte du 92. Là, est surgi le mouvement révolutionnaire dont le Commandant Chávez a été à la tête. Mais dans ce moment quelque chose a échoué et le même Président Chávez l'a reconnu : il manquait plus du peuple. Et avec son célèbre "Pour le moment"  nous sommes arrivés au troisième moment historique qui aujourd'hui, douze ans après, nous fait défendre avec le cœur notre patrie.

Le 2 février 1999 le Commandant Hugo Rafael Chávez Frías arrive à la Présidence de la République et immédiatement s'est initiée une transformation économique, politique, social, éducatif à l'intérieur de la société afin de donner du pouvoir au peuple.
Maintenant le Venezuela est un autre pays et il appartient à tous. Bien que cela soit certain, nous devons nous rappeler que, pour le transformer dans un pays pour tous, une nouvelle République a dû surgir et cela est arrivé quand un processus électoral nous a permis engendrer notre actuelle Constitution.
C’est ainsi, comme une vraie lutte est commencée. D'un côté le Président Chávez et le peuple et par l'autre les maîtres des transnationales et les corporations médiatiques qui ont initié une guerre ouverte contre toutes les mesures qui faisaient du bien aux paysans, aux indigène, aux femmes de maison, aux étudiants, aux ouvriers, en fin, au peuple.

L'unique objectif que ces groupes économiques avaient, était de veiller à ses propres intérêts et de continuer avec l'exploitation de l'homme pour agrandir leur domaine. Ainsi elle est devenue publique, la lutte de classes comme Marx nous a décrit. Et je dis qu'elle est devenue publique parce qu'évidemment cette lutte existait déjà, mais bien qu'elle se sentît dans la peau des exploités, cette lutte de classes n'était pas quelque chose dont on parlait quotidienne aujourd'hui.


Quand la droite nationale et internationale a compris qu'ils ne pouvaient pas mettre à genoux le président Chávez ils ont organisé le coup d'État de 2002 et le sabotage à l'industrie pétrolière qui a engendré autour de 20 milliards de dollars des pertes économiques et des irremplaçables pertes d'êtres humains.
Malgré les actions immorales de la contre-révolution, le peuple vénézuélien a continué son chemin et aujourd'hui le Venezuela est un autre pays.


Le Venezuela est le premier pays du monde avec une qualification de 96 points qui lui est octroyée dans une échelle de cent (100), dans un honneur aux buts atteints en matière de l'inclusion pour l'alphabétisation, l’éducation initiale, primaire, secondaire et universitaire, conformément à une information récemment émise par l'Organisation des Nations Unies pour l'Education, la Science et la Culture (Unesco).

L'Organisation des État Américains (OEA) et l'Organisation des Nations Unies (ONU) ont certifié que la pauvreté en Venezuela en 1999 était de 49,4 pour cent, alors qu'en 2008 elle a été réduite à 27,6 pour cent; la pauvreté extrême en 1999 était de 21,7 et en 2008 elle est tombé à 9,9% ; aujourd'hui, elle se situé a peu près au 7% selon l’Institut National des Statistiques.  Le nombre de pensionnés a augmenté de 211.000 en 1998 à un million et demi en 2010; la mortalité infantile en 1999 se trouvait à 25,8 % et en 2010 elle est de 16 %.  Aujourd'hui le Venezuela est un autre pays et il est à tous.

La Venezuela, l'Argentine, le Brésil et la Bolivie sont les pays de la région qui ont plus réduit l'inégalité et la pauvreté dans dernière décennie, cela est une affirmation de la Commission Économique pour l'Amérique Latine et le Caraïbe (Cepal). Il faut ajouter que selon des chiffres des Nations Unies en Amérique Latine (PNUD) le  Venezuela est le pays avec moins d'inégalité dans la distribution de ses richesses. Le Coefficient Gini en 1997 se trouvait à 0,49 et en 2010 il s'est mesuré dans 0,38. 

Conformément à la dernière information de « Latinobarómetro »,  64 % des Vénézuéliens ont cité l'insécurité comme leur principal problème, cependant  que 27% des vénézuéliens ont affirmé avoir été victimes d’un crime. La brèche entre la perception et la réalité est de 37%, la plus grande de la région. 


Dans le domaine d’education, la déclaration du Venezuela comme Territoire Libre d'analphabétisme a été appuyée et reconnue pour le Secrétaire général de l'Organisation de Nations Unies (ONU), Kofi Annan; le Directeur général de l'UNESCO, Koichiro Matsuura; le Secrétaire général l'Organisation d'États Latino-américains pour l'Education la Science et la Culture (OEI), Francisco Piñón et les chefs d'États et de Gouvernement des pays Latino-américains, qui ont envoyé un communiqué dans un dossier à l'initiative éducative développée par le Venezuela. Maintenant le Venezuela est un autre pays et il appartient à tous.

L'Unesco a aussi certifié le Venezuela comme le cinquième pays du monde avec la plus grande matricule universitaire avec 83% ; seulement surpassée par le Cuba (109 %), la Corée (95 %), la Finlande (94 %) et la Grèce (91) %.  Le PIB en 1998 se trouvait à 88.597 millions de dollars et actuellement il oscille entre les 257.199 millions de dollars.  96 % de la population dispose de l'accès à l'eau potable et 85 % de la récolte d'eaux servies.  Dans le domaine médiatique il y a aussi des grandes progressions. Jusqu'à 1998, 291 concessions ont été octroyées chez des radios FM privés, 9 publiques et aucune communautaire. Pour 2009 le chiffre était de  472 radios privées, 79 publiques et 243 communautaires. Dans la radio AM,  jusqu'à 1999 179 concessions privées et 26 publiques avaient été octroyées. Pour 2009 le chiffre est de 189 émettrices privées et 26 publiques.


En ce qui concerne la télévision jusqu'à 1999 26 concessions de télévision commerciale ont été octroyées et 2 publiques. Pour 2009 existent un total 65 télévisions ouvertes privées, 6 de l'État (VTV, Telesur, Vit Tv, Tves, Avila TV, ANTV, et 35 communautaires. Cela est une preuve plus des réussites du gouvernement bolivarianne et de la démocratisation de l'espace public.  Dans le secteur de la santé 6.712 services de consultation médicaux populaires sont ouverts, 3.019 fauteuils pour la santé dentaire sont installées dans tout le pays pour offrir une attention gratuite, 459 optiques populaires, 519 centre des diagnostics intégraux. 562 salles de réhabilitation, 29 centres d’haute technologie, 22 centres ophtalmologiques, 9 centres cardiologiques.

Les mesures de sécurité ont permis de saisir, en 2010, 63.820 kilogrammes de drogues, d'arrêter 17 chefs d'organisations criminelles dédiés au trafic international de drogues, 18 laboratoires ont été démantelés à la frontière avec la Colombie entre autres. Selon l'ONU la Venezuela se trouve entre les pays avec une plus grande saisie de drogues du monde. Un coup dur aux centres de pouvoir du monde.  L'accès à l'Internet a monté de 3 % avant le commencement de la révolution 33 % en 2010. En matière de la téléphonie mobile, CANTV  a au un développement de 70%.


Nous pourrions remplir des feuilles entières avec les réussites de la révolution, mais il est fondamental de faire une emphase dans quelque chose très importante. Bien que cela sonne un peu contradictoire, ces réussites ne sont pas la préoccupation principale de la droite mondiale. Ce qui les inquiète est que le socialisme du XXIe siècle triomphe parce que cela représenterait le commencement d’un monde pluripolaire et multiculturel.
Le président de l'Assemblée Générale de l'Organisation des Nations Unies (ONU), Alí Abdussalam Treki, a assuré que le gouvernement socialiste de la République Bolivarianne du Venezuela est un exemple digne à suivre par rapport à l'accomplissement des Buts Millénaires.

De continuer la consolidation du socialisme vénézuélien, cela serait un échantillon pour l'opinion mondiale du fait qu’un autre monde est vraiment possible. Un monde avec un autre système. Un système d’inclusion. Un système comme José Martí, l'a pensé quand il a dit "avec tous et par le bien de tous". Un système qu'au Venezuela nous l'avons nommé « socialisme du XXIe siècle ». Un système qui au-dessus de tout, nous donne une inclusion et une souveraineté. Une souveraineté qui nous permet de manier nos propres ressources naturelles avec une nouvelle politique extérieure.

Maintenant quand ils me demanderont pourquoi on parle autant sur ma patrie je leur réponds : parce que maintenant le Venezuela est un autre pays et nous n’allons pas nous mettre à genoux devant aucun empire.

  
"Ceux qui veulent de la Patrie, venez avec moi à construire la Patrie de l'Avenir, la Patrie de nos enfants" Hugo Chávez Frías

Ècrit par:  Marianela Urdaneta 
Traduit par:  Michelle Ellner

No hay comentarios:

Publicar un comentario